Infirmière coordinatrice CAR T Cells

Coordonner l’activité de CAR T cells et le parcours des patients en lien avec tous les intervenants intra et extra-hospitaliers concernés.

 

Rédaction avec la participation de Laurence Jacquesson, infirmière coordinatrice CAR T cells. Service Hématologie Clinique, CHU Dijon-Bourgogne.

Personne-ressource des équipes de soins et interlocuteur référent du patient et de ses proches avant, pendant et après le traitement par CAR T Cells

  • Participation au RCP afin d’identifier les patients éligibles
  • Coordination des actions à toutes les étapes du parcours de soins
  • Participation au dispositif d’annonce.

Commande et programmation :

  • Recueil des consentements du patient
  • Inscription sur la plateforme du laboratoire
  • Programmation de l’aphérèse.

Planifier les différents examens : Bilan sanguin, consultation EFS, échographie cardiaque, électroencéphalogramme recommandé, IRM cérébrale, consultation neurologique, TEP scanner.

Suivi téléphonique (+/- 1 fois/semaine) jusqu’à la réinjection des cellules que le patient reçoive ou non une chimiothérapie d’attente.

Médecin référent du patient, médecin traitant, infirmières à domicile, pharmacien
Entretien infirmier avec le patient en présence d’un de ses proches si possible

  • Information sur les différentes étapes du traitement : inscription, leucaphérèse, période d’attente, hospitalisation pour réinjection, surveillance post CAR T Cells.
  • Effets secondaires possibles : syndrome de relargage de cytokines, troubles neurologiques, aplasie.
  • Coordonner l’orientation du patient vers les soins de support si besoin.
  • Surveillance 1 fois/semaine en HJ dès que le patient est sortie d’hospitalisation complète durant le 1er mois post injection, puis tous les 15jours jusqu’au 2è mois. Surveillance par TEP scanner au 30ème jour post injection puis tous les 3 mois.
  • Suivi téléphonique hebdomadaires jusqu’au 30ème jour post injection, puis 2 à 3 fois/semaine jusqu’à 8 semaines après injection. Le but est d’anticiper les rechutes précoces, détecter les problèmes infectieux ou de toxicité neurologique retardée.
Contenu mis en ligne le 18/05/2024 – Dernière modification le 28/05/2024